J'ai rencontré Ananias Hagos lors d'un voyage à Sorsogon. Il était un homme grand et maigre 54 ans de Brgy. Tinampo de la ville de Irosin, un enroulement deux heures de route de la ville de Legaspi. Offrant un faible sourire lorsque les travailleurs de santé locaux nous introduit les uns aux autres, Mang Naning à ses camarades de la ville, était de toute évidence timide et douce, proférer des mots qui parfois, seulement lui seul pouvait entendre. Triste à dire, Mang Naning souffre d'une maladie débilitante pour ces vingt dernières années.
Mang Naning est affligé d'une maladie parasitaire tropicale appelée la filariose lymphatique (LF) ou tibak. LF affecte plus de 100 millions de personnes dans plus de 70 pays tropicaux et subtropicaux. Les moustiques transmettent le parasite qui cause la LF. Initialement, les infections peuvent ne présentent aucun symptôme, mais elles sont souvent associées à des syndromes aigus comme une inflammation des canaux lymphatiques ou lymphangite avec fièvre. Parmi les complications chroniques sont des hydroceles chez les hommes et le résultat plus redouté de l'infection, physiquement et socialement invalidantes éléphantiasis des extrémités, justes comme ce qui s'est abattue sur Naning Mang.
Mang Naning a boiter en raison de sa jambe gauche lourd, endoloris par les plaies causées par une infection secondaire. Et la partie triste, personne n'est autour de se pour occuper de lui. Son épouse quitté pour un autre homme il y a presque deux décennies parce qu'il ne pouvait fournir pour la famille après qu'il a été obligé de cesser de travailler à la ferme en raison de son état. Et pire encore, son épouse quitte leur fille seule avec lui. Sa fille épouse quand elle a tourné 18, laissant Mang Naning seul, encore une fois.
Il rappelle clairement comment cette apparente des calvaire a commencé. C'est en 1981 quand il a d'abord remarqué le gonflement de son pied gauche. Il n'a pas payer trop d'attention à elle jusqu'à ce qu'il a développé plaies et par la suite abcès due à une infection secondaire. « Nagpunta naman ako sa duktor. Akala ko kasi normal lang na sakit sa balat, » dit Mang Naning. « Hindi kaagad nalaman kasi hindi ko naman pinatingnan dugo ko. Di naman ako nagduda na mai problema ako sa kalusugan. Di ko inintindi, tuloy pa rin sa trabaho. Nagpupunta Lang ako sa duktor pag dumudugo yung mga sugat ko. » (Je n'est allé à un médecin. Je pensais que c'était juste une maladie de peau ordinaire. L'État n'a pas immédiatement diagnostiqué, car je ne subit pas de test sanguin. Je ne soupçonnaient pas que j'étais malade. J'ignore totalement et a continué avec mon travail. Je suis seulement allé chez le médecin quand mes plaies saignaient.)
Mang Naning a juste eu la chance qu'il n'a pas devenir la cible de blagues car à Sorsogon, tibak est une condition normale. J'ai découvert plus tard de l'unité provinciale de la santé que toutes les municipalités de Sorsogon sont considérés comme des zones d'endémie. Travailleurs de la santé a noté que Mang Naning doit avoir contracté LF en raison de son exposition aux plantes aisselle comme les bananiers qui abondent près de sa maison. Plantes aisselle comme banane, abaca, pandanus et gabi faire parfaite reproduction des moustiques porteurs de filarienne parce que l'eau s'accumule dans son aisselle.
« Lang normal pakiramdam ko. Di ko ginawang hadlang yung sakit ko para di ako maging kapaki-pakinabang. Kasi kung papaapekto ka, ka lalo lang maaawa sa sarili Mo Nahihirapan nga ako sa kundisyon ko pero basta peut moyennant, gumiginhawa pakiramdam ko. » (Je me sens normal. Je n'autorisent pas ma condition de m'empêcher de devenir utile. Si je me laisse être touchés, j'aurai juste apitoiement sur soi-même. Je souffre de ma condition, mais s'il y a des médicaments, je me sens d'une amélioration).
À l'heure actuelle, Mang Naning vit avec sa mère. Sa sœur, qui est aussi son voisin, lui permet avec certains de ses besoins. Il continue à être aussi productive que qu'il peut en faisant des petits boulots pour ses voisins. Il fournit de l'eau et obtient un misérable Php300 par mois. Il a aussi une porcherie Minie. Mais les lamentations il il aurait pu faire plus avait il pas contracté la maladie. « Iba rin pag wala kang karamdaman, mas malaya kang makakakilos. Pero tanggap ko naman kalagayan ko sa ngayon. Nagpapasalamat ako à maalaga ang mga santé travailleurs dito lalong-lalo na sa mga nagbibigay ng donasyon na moyennant, » dit-il. (Il est tout à fait différent si l'on exempte de toute maladie, vous pouvez déplacer librement. Mais j'ai déjà accepté mon sort. Je suis reconnaissant envers les travailleurs de la santé ici qui prennent soins et plus particulièrement à ceux qui ont fait don de médicaments.)
Se lancer dans la lutte contre la filariose lymphatique
Le ministère de la santé (DoH) a estimé il y a plus de 200 000 cas de LF avec la prévalence dans les régions endémiques établies à 7/1, 000. Dans sa volonté de lutter contre la maladie, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en 2000, en partenariat avec la DoH et maintenant avec la Coalition pour l'élimination de la filariose lymphatique (CELF) Philippines commence la campagne contre LF dans le pays. L'objectif est d'éliminer la maladie en 20 ans. Laboratoire pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK) s'est engagé à fournir l'albendazole médicaments antiparasitaires jusqu'à ce que la LF est éliminé comme un problème de santé publique. Environ 83 millions de comprimés sont attribuées aux Philippines seuls.
La DoH a débuté les traitements de massives maison Bicol et CARAGA où tout le monde depuis deux ans et plus sont donnés la médecine une fois pendant 5-6 ans pour la prévention des maladies. Pour ces déjà minées, les médicaments peuvent empêcher la maladie de s'aggraver.
L'OMS estime que la maladie est potentiellement éradiquée. Tout ce qui est nécessaire est une campagne agressive, un inventaire considérable de médicaments et d'éducation à la santé communautaire. De cette façon, Mang Naning et certains autres patients LF, surtout celles qui sont encore dans sa phase initiale, seront renouvelé espoir.
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