Le taux d'induction du travail a atteint un niveau record des États-Unis, avec des estimations de grimper aussi haut que 33,7 % des grossesses. Inductions peuvent être effectuées dans les cas où poursuivre une grossesse présente clairement risques santé et sécurité à la mère ou le fœtus.
Il existe de nombreuses approches médecins peuvent prendre pour faire mûrir le col de l'utérus et de déclencher le travail. Un médicament qui est devenue populaire ces dernières années pour la maturation cervicale est Cytotec. En règle générale une pilule est brisée dans la moitié ou un quart, et l'une des pièces est insérée dans le col de l'utérus toutes les quelques heures jusqu'à ce que le col de l'utérus est prêt pour le travail.
Information incomplète
Le problème est que beaucoup de femmes ne reçoivent pas toutes les infos sur le médicament avant qu'il consent à son utilisation. Induction du travail est une utilisation de Cytotec. Cela signifie qu'il a été développé, fait des recherches et approuvé dans un autre but.
Étiquette du fabricant de Cytotec seulement lui permet d'être utilisé pour prévenir les ulcères de l'estomac chez les patients qui prennent des anti-inflammatoires non stéroïdiens ou l'aspirine à long terme. Lorsqu'un médecin utilise un médicament hors AMM, il consiste à déterminer l'innocuité et l'efficacité lui-même plutôt que de s'appuyer sur une grande enquête scientifique approfondie.
Quelques enquêtes ont été entreprises qui comparent Cytotec à d'autres médicaments qui sont effectivement approuvés aux fins de la maturation cervicale et l'induction du travail. Ces études ont démontré que bien que Cytotec semble être aussi efficace que les autres médicaments, il y a des risques graves. Bien que les femmes qui ont reçu le Cytotec peuvent parfois évoluer plus rapidement que ceux qui ont reçu de certains autres médicaments approuvés, ils sont aussi plus susceptibles d'éprouver certaines complications.
Cytotec provoque l'hyperstimulation utérine, ce qui peut entraîner des complications, y compris la souffrance fœtale, embolie amniotique, rupture utérine, mort fœtale et l'hémorragie du post-partum. Le risque de rupture utérine est encore accru chez les mères qui ont déjà eu une césarienne.
Mises en garde du fabricant
Searle, le fabricant de Cytotec était tellement préoccupé par cette utilisation qu'il a publié une lettre aux médecins en août 2000. La lettre a reconnu ces complications et a exhorté les médecins à suivre leurs directives thérapeutiques approuvés.
Searle a également déclaré qu'elle « n'a pas mené recherche concernant l'utilisation de Cytotec pour la maturation cervicale avant l'interruption de grossesse ou pour l'induction du travail, ne Searle ont l'intention d'étudier ou de prendre en charge ces usages. »
Obtenez les faits
Avant que vous consentez à l'utilisation de tout médicament, assurez-vous de que connaître les faits. Vous devez savoir :
-Quelles sont les options de traitement possibles
-ce que le médicament est, comment ça marche et combien vous recevrez
-Combien de temps il faut pour travailler et combien de temps dureront les effets
-quel but la FDA a approuvé le médicament pour
-quel côté les effets du médicament devrait avoir sur vous et votre bébé
-quelles complications ont été documentées pour se produire avec l'utilisation du médicament
-Combien plus souvent les complications se produisent avec ce médicament par opposition à d'autres médicaments ou aucun médicament à tous les
Si vous ne savez toujours pas, demandez à votre médecin ou votre pharmacien de vous montrer le fabricant de prescrire les renseignements.
Cet article est destiné à des fins éducatives seulement. Il ne vise pas à servir de conseils médicaux ou comme un substitut pour des conseils médicaux professionnels et ne devrait pas être interprétée comme une recommandation pour le traitement. Si vous avez des questions ou des préoccupations au sujet de votre santé physique ou mentale ou la santé de votre enfant, veuillez demander de l'aide auprès d'un fournisseur de soins de santé qualifié avant d'utiliser toute information sur la santé.
© Christine Climer
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